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Je suis un frogs du Québec
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25 juillet 2013

Sécession canadien.

Drapeau du Canada #2

Nous ne somme pas les seuls au Québec qui veuille se séparer du reste du Canada,mais pas pour les memes raisons

Le séparatisme albertain défend la sécession de la province canadienne de l'Alberta ou bien revendique une sécession avec les trois autres provinces de l'Ouest (Colombie-Britannique, Saskatchewan et Manitoba), ou encore exige l'annexion de l'Alberta aux États-Unis.

Le mouvement séparatiste émergea en réaction au sentiment d'aliénation de l'Ouest canadien déclenché par le rejet du programme énergétique national, destiné à centraliser les richesses de la province lors de la crise énergétique de 1980.

Le politicien séparatiste Gordon Kesler fut élu à l'Assemblée législative de l'Alberta dans une élection partielle à Olds-Didsbury en tant que candidat du Western Canada Concept. En réponse, le premier ministre Peter Lougheed proclama la tenue d'une élection en 1982 qui vit la défaite de Kesler aux mains des progressistes-conservateurs.

Après que Brian Mulroney ait succédé à John Turner à la tête du pays, l'élément séparatiste se démantela progressivement. Cependant, sous le gouvernement Paul Martin, la fierté albertaine est en résurgence, bien qu'elle soit assez éloignée des mouvances séparatistes.

Le Parti de la séparation de l'Alberta a obtenu seulement 0,5 % des suffrages et n'a pas été élu dans aucune circonscription. L'Albertain Stephen Harper est perçu comme étant en faveur à l'unité albertaine au sein du Canada.

Des désaccords relatifs à la loi canadienne sur la santé, à un possible impôt sur le carbone et au régime de pensions du Canada risquent de faire durcir les positions de politiciens comme Ralph Klein ou Mark Norris, qui ont fait valoir la possibilité de séparation si ces difficultés n'étaient pas résolues dans un court ou moyen terme.

Un sondage du Western Standard montre d'ailleurs que 42 % des Albertains et 32,6 % des habitants de l'Ouest seraient favorables à l'idée de former une nation ; la question posée par les sondeurs a toutefois été critiquée comme étant trop vague.

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